Val qui rit...

Bien que toujours armée de Mjöllnur le Marteau d'Or, il reste bien superflu à côté de son bonnet G en airain renforcé et de son string de chasteté en cotte de maille qui sont à eux deux l'arsenal le plus impressionnant de Chlamydia la Walkyrie.

Son passé n'est pas totalement obscur, car plus personne n'est sans ignorer qu'elle faisait autrefois partie de la Tribu des Amazones Ultraféministes des Cimes de l'Apex, une société composées uniquement de femmes guerrières qui étaient connues pour leur habitude de décapiter tout intru franchissant leur territoire, ainsi que leur lutte hardie pour le droit de vote.

Chlamydia aurait été bannie de leur confrérie pour comportement jugé trop radicaliste même selon les valeurs de sa tribu.

Depuis, la jeune femme passe son exil en temps que mercenaire nomade, passant dans les villages pour les débarasser de monstres ou de hordes barbares, se créant ainsi son propre business. Au fil des temps, elle est devenue symbole vivant de l'indépendance féminine, ses prouesses grossissant à chaque fois sa légende. Sa beauté également, car il n'est nul homme qui ne peut résister à ses courbes voluptueuses et la possibilité qu'elle puisse vous étrangler rien qu'avec le porte-jaretelle de bronze qu'elle garde pour ses amants, selon la légende...

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Voilà le premier dessin d'une série qui me trotte dans la tête depuis un long moment, sous le nom de code ALBUMEN : les Chroniques de l'Oeuf Cosmique, un univers de fantasy parodique qui restera à l'état d'illustrations et de petits articles le temps que j'achève les autres projets en tête de liste. Chlamydia ( le nom pourrait changer, ainsi que le costume ) en serait l'une des principales protagonistes, car je trouve assez saoulant toutes ses bimbos en bikini d'acier qui pullulent dans l'heroic-fantasy. C'est aussi un moyen de faire partager mon amour des filles assez plantureuses...( voilà un bon exemple du genre de phrase que je peux sortir tant que je suis célibataire... )